En décembre 2019, un virus mortel connu sous le nom de coronavirus, ou plus tard de covid-19, commence à faire parler de lui. Centré en premier point en Chine, le virus s’étend dans le monde entier et provoque une pandémie. C’est alors que toutes sortes d’informations à propos du covid-19, sont apparues. C’est pourquoi nous pouvons nous demander, comment les fake news sur le covid-19 influent elles la population. Nous éclaircirons alors dans une première partie la signification de fake news et de coronavirus, puis dans une seconde partie nous verrons certaines fake news, et enfin dans une dernière partie, nous étudierons les conséquences que cela engendre.
Pour commencer, qu’est-ce qu’une fake new? Une fake new
est une fausse information. En effet cette dernière n’est qu’une
tentative de désinformation, qui possède la plupart du temps une
large diffusion.
Quand au covid-19 c'est un virus apparu en Chine en décembre 2019. Il
viendrait du pangolin, petit mammifère braconné pour ses écailles,
sa chair, ses organes et ses os, qui sont vendus illégalement, et
utilisés pour la médecine traditionnelle asiatique. Le premier cas
de coronavirus a été déclaré aux alentours du 29 décembre 2019
en Chine. Mais au fur et mesure le virus s’est étendu dans le
monde entier, et a causé la mise en confinement de plusieurs pays.
Les principales personnes touchées sont celles de plus de 30 ans ou
les jeunes enfants. Il est cependant mortel pour les personnes plus
faibles immunitairement. Les personnes les plus fortes, peuvent être
porteurs sains, c’est-à-dire avoir le virus sans en avoir les
symptômes, et tout de même le transmettre. Par ailleurs, le virus
se transmet par les sécrétions, comme lors d’une discussion,
d’éternuements, et de toux. Certaines mesures de sécurité ont
été prises afin de remédier à la pandémie.
Ensuite, comme nous pouvons le remarquer, les médias et les réseaux
sociaux se sont empressés de diffuser cette nouvelle, et de « mettre
à jour » les informations face à ce virus pratiquement chaque
jour. Des fake news en sont alors ressorties : « l’alcool
guérit du coronavirus », « des morts du covid-19 se sont
réveillés après plusieurs jours » ou encore, « le
gouvernement a créé ce virus, et l’a dispersé dans le monde afin
que seulement les personnes les plus fortes restent ». Ce genre
d’information a pour but de faire peur à la population, ainsi
que de déstabiliser l’Etat. Elles proviennent pour la plupart des
réseaux sociaux, ou de médias douteux.
Enfin ces fake news à propos du covid-19 ont plusieurs conséquences.
Tout d’abord politiques, car en effet noyée dans les informations
sur le virus, la population ne sait que croire et peut se méfier
alors du discours que certains des politiciens peuvent tenir. C’est
pourquoi il y a un besoin de transparence entre les politiciens et la
population. Cependant des conséquences économiques, notamment par
un mouvement de panique en pensant que la fin du monde est proche,
nous a fait acheter le nécessaire pour ne pas être contaminé, comme
du gel hydroalcoolique, des gants, des masques, du papier-toilette…
c’est ainsi que plusieurs magasins et pharmacies ont été en
pénurie assez rapidement de ces produits de premier ordre en ce
temps de crise. Nous pouvons également relever un impact social :
tout le monde se méfie de tout le monde au moindre raclement de
gorge. De plus la mise en quarantaine n’arrange pas le contact
humain, qui est alors réduit à communiquer avec ses proches par
messages, vidéos voire lettres, même si cette option devient de plus
en plus risquée.
En conclusion, les fake news sur le covid-19 sont partout et
diffèrent les unes des autres. Il est important de savoir dénouer
le vrai du faux en vérifiant les sources, et d’essayer de prendre
en compte seulement les informations qui sont sur des sites
officiels, ou encore ne prendre en compte que les paroles du
président du pays en question. Face à cette crise mondiale précédée
d’une presque guerre, ainsi que d’un incendie en Amazonie, nous
pouvons nous dire qu’après cet épisode pandémique, le monde ne
pourra qu’aller mieux !
Coline,première HGGSP Groupe 3-Lycée de Lorgues
Article écrit fin mars 2020.
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